La vaccatn pt prévenir certa fectns sexuellement transmissibl (IST) d’orige virale : l’hépate A, l’hépate B, le papillomavis huma certaement. D’tr vaccs existent ou sont à l’étu. Pour l gays, un certa nombre vaccs sont particulièrement util pte tenu la prévalence s maladi qui circulent dans la munté et ntre lquels ils protègent.
Contents:
- LE POT SUR LE PAPILLOMAVIS CHEZ L GAYS
- SANTéL VACCS QUE CHAQUE GAY VRA MANR à SON MéC
- RAOULT - VACC NTRE LE PAPILLOMAVIS : QUE POUR L GAYS ET L VIERG ?
- VACCATNS à FAIRE QUAND ON T GAY
LE POT SUR LE PAPILLOMAVIS CHEZ L GAYS
Alors qu’il existe dans plirs pays un programme vaccatn ntre le vis du papillome huma pour l jn femm, une récente étu stralienne prénise vaccer également l jn gays. Pourquoi ? Quels sont l factrs risque du vis ? Quels liens entre l ndylom ano-génx et ce vis ? N’y a-t-il que l pratiqu hard pour er cette fectn ? * papillomavirus homme gay *
Le HCSP reman le vacc ntre l papillomavis chez l homosexuels.
SANTéL VACCS QUE CHAQUE GAY VRA MANR à SON MéC
Alors qu’il existe dans plirs pays un programme vaccatn ntre le vis du papillome huma pour l jn femm, une récente étu stralienne prénise vaccer également l jn gays. Mais qu’en t-il chez l gays? Il existe p d’éléments mais l gays sont fortement touchés par le vis et on note une surreprésentatn s ndylom ano-génx dans cette populatn.
RAOULT - VACC NTRE LE PAPILLOMAVIS : QUE POUR L GAYS ET L VIERG ?
Si l’on nna la séroprévalence HPV et l factrs risque chez l gays, on pourra donc désormais murer l effets du programme vaccatn pour cette populatn. C’t ce que propose l’étu « séroprévalence HPV type 6 et 11 chez l gays ». Cette étu stralienne étudie l factrs prévalence et l’cince du HPV chez l gays asi que le lien entre ndylome ano-génal et le vis.
L’étu « séroprévalence HPV type 6 et 11 chez l gays » a nsisté à étudier la prévalence et l’cince du HPV 6 et du HPV 11 dans ux première horte, appelée HIM Study, t posée 1427 gays séronégatifs VIH. L participants ont pl 18 ans, vivent ou viennent régulièrement à Sydney, y équentent la munté gay et ont mos un rapport homosexuel dans l cq anné éulé sen horte, la PH study, diffère la première prcipalement parce qu’elle t posée 245 gays séroposifs participants la horte « séronégatif VIH » ont été rectés entre ju 2001 et décembre 2004 et ont effectué s entretiens jqu’en 2007.
VACCATNS à FAIRE QUAND ON T GAY
En pl c entretiens annuels, l gays séroposifs VIH la sen horte étaient terrogés par téléphone to l six mois af rélter s donné récent sur lr portement sexuel et lr nsommatn drogu.
Dans la uxième horte posée gays séroposifs, s tts sérologiqu ont été réalisés annuellement entre 2005 et enquête ne s’térse qu’ HPV type 6 et 11. Af d’analyser l prédictrs [1] prévalence HPV6/11, l donné socdémographiqu, blogiqu et portemental ont été examé: âge, métier, cirncisn, nive d’tégratn dans la munté gay, le nombre partenair sexuels (homm et femm séparément), le temps éulé puis le premier rapport sexuel, le temps éulé puis le premier rapport anal, tabac, nnabis, fectn à la syphilis, l’hépate A, B, C, l’herpès simplex type 1 ou 2. On a procédé façon siaire pour l prédictrs d’cince du HPV6/11, mais s ractéristiqu supplémentair on été étudié: nombre partenair sexuels gays dans l six rniers mois, rapports sexuels non protégés par type partenaire, ocsnnel ou régulier.
On a analysé séparément l’cince et la prévalence s ndylom anx d’une part, et s ndylom génx d’tre, 5959 prélèvements ont été effectués dans la première horte 1427 gays séronégatifs VIH.