Comment renntrer s homm gays ou bisexuels. Aujourd'hui, la munté LGBT s'ofe mon et se développe pl ve que jamais paravant, mais il pt être toujours difficile trouver s homm gays ou bisexuels tour soi....
Contents:
- "JE SUIS GAY ET JE L'ASSUME" : LE SECRéTAIRE D'ETAT X AFFAIR ROPéENN CLéMENT BENE FA SON G-OUT
- HOMOSEXUALé: L PERSONNALéS POLIQU GAYS OU LBIENN QUI ONT FA LR G-OUT RTENT P NOMBRS
- L’EUROPE SO L’FLUENCE DU LOBBY GAY
- QUAND L GAYS VAIENT DRAGUER DANS L TOILETT PUBLIQU
- TOUT N'T PAS GAY DANS LA VIE
- COMMENT RENNTRER S HOMM GAYS OU BISEXUELS
"JE SUIS GAY ET JE L'ASSUME" : LE SECRéTAIRE D'ETAT X AFFAIR ROPéENN CLéMENT BENE FA SON G-OUT
[50 ans bats LGBTQ+] Depuis Stonewall, en 1969, et la première gaypri, en 1970, la représentatn la munté LGBT et la culture queer céma a profondément évolué. Présenté par ordre chronologique, voici l 35 œuvr qui ont le pl marqué c cquante rnièr anné. * gay dans la politique *
Au fil s anné 1990, d’tr partis poliqu tègrent directement dans lrs stctur s group ad hoc: la Commissn natnale lbienne, gay, bi, trans et tersexe la Ligue muniste révolutnnaire (LCR), puis du Nouve parti antipaliste (NPA); la Commissn gais et lbienn s Verts; la Commissn fiers/fièr et révolutnnair du Parti muniste (PC), et enf GayLib à Démocratie libérale puis à l’Unn pour un mouvement populaire (UMP). Alors secrétaire d’État chargé s relatns avec le Parlement, Roger Karoutchi anise une vérable mpagne médiatique [22] en vue rendre publique son homosexualé, ux mois avant l « primair », qui visent à désigner la tête liste UMP en Île--France x électns régnal 2010, et qui l’opposent à sa llègue Valérie Pécrse, alors mistre l’Enseignement supérir et la Recherche. L’outg t une forme particulière dénonciatn, qui nsiste à « révéler l’homosexualé d’une personnalé publique qui s’attachera à la taire et, ce faisant, valira le stigmate qui lui t associé […] », et pl précisément personn « qui non slement choisissent rter “ dans le plard ”, mais surcroît enuragent l’homophobie par lrs posns ou par lrs engagements » [29].
HOMOSEXUALé: L PERSONNALéS POLIQU GAYS OU LBIENN QUI ONT FA LR G-OUT RTENT P NOMBRS
La sexualé, la classe sociale, l’ethnicé et l’pace sont rarement envisagés so l’angle la polique intaire. Cet article cherche à mettre en évince et à analyser l tensns et ambivalenc en teractn entre classe et ethnicé et l perceptns et prs s personn gays, lbienn, bisexuell et trans (LGBT) à l’égard la phobie dans six vill pet et moyenn à travers toute l’Europe. 155 rapports d’entretiens en profonur ont été analysés dans le dre d’un projet recherche l’Unn ropéenne qui s’térse x expérienc d’homophobie et transphobie. L’analyse explore l perceptns d’hostilé qu’éprouvent l personn LGBT et nclut que cell-ci apparaissent en relatn avec l notns classe sociale et d’ethnicé. Dans un premier temps, la crate la LGBTphobie t replacée dans le ntexte s quartiers urbas et cette géographie t défie par la classe et/ou la race. Dans un uxième temps, le pal social et énomique t envisagé me agissant à la manière d’une « zone tampon » à l’térir ou à l’égard certas quartiers. En troisième li, cet article étudie la tensn et l’ambivalence entre l prs psychogéographiqu s participants envers l’hostilé et l crim hae à l’enntre s personn LGBT. Il s’ag ici d’examer ment ceci l place en posn « gar-ontièr » la « natn morne libérale » sans tenir pte s paradox qu’une telle posture engendre par rapport à lr propre rennaissance par aillrs. L intés et marqu rennaissance s personn LGBT sont salué me s marqurs la réalisatn d’une cln occintale démocratique ntrastant avec l libertés s états religix « pré-morn », en particulier cx qui sont islamiqu. L mulmans sont nsidérés me homophob et ceci t utilisé me une jtifitn lr pacé à participer à « la morné » même dans le dre la migratn. Cet article s’térse ssi à cx qui ont térêt à tenir ce disurs morne/prémorne. * gay dans la politique *
Quelqu anné pl tard, me un outg à retarment, plirs publitns révèlent qu’il s’ag Rend Donnedi Vabr, venu mistre la Culture (2004-2007; en 1999, il éta député UDF d’Indre-et-Loire) [32]; l’térsé n’a jamais formellement nfirmé ni démenti c affirmatns, ni même menté le ntexte cette menace d’outg, mais il évoque en 2007, sur son blog, s portements « homophob » à son égard, lors s législativ, entérant par là même une forme g out [33]. L’exemple Jean-Luc Roméro t pl ambigu: ce nseiller régnal d’Île--France, membre du é polique du RPR et présint l’associatn s Él ntre le sida, vo son homosexualé révélée dans le pérdique gai e-male en octobre 2000, dans un article portant sur la mpagne municipale Philippe Segu, alors ndidat à la mairie Paris. Cette forme légimatn l’homosexualé rend alors possible l g out quelqu personnalés poliqu premier plan, qui relèvent d’une décisn dividuelle plutôt que d’un procs partisan et s’acpagnent disurs visant à présenter cette démarche so un jour favorable, tout en véhiculant une « visn » l’homosexualé en term d’engagement, d’inté, genre et sexualé.
« Je suis ant la Ligue s dros l’Homme, plirs associatns ntre le racisme et l’antisémisme et je me suis rendu très souvent à s débats, s lloqu anisés par la munté homosexuelle […] Pour moi, même si j’ai un vécu particulier, tout ça c’t le même bat pour la liberté l’dividu, son dro à l’égalé […]. Comme le souligne Lrent Olivier, Jean-Luc Roméro saie « ncilier une approche tégratnniste — tégrer l problèm d’une moré, dans l ntradictns imposé du champ partisan — et un engagement pl muntaire se d’associatns (“ Él ntre le sida ”), foms, voire certas “ partis ” homosexuels (“ L Mv ”) [55] ».
L’EUROPE SO L’FLUENCE DU LOBBY GAY
En term d’inté, c homm poliqu relèvent un défi particulièrement délit: affirmer publiquement lr homosexualé, tout en se distanciant s muntés LGBT et s réalés social qu’ell représentent, pour apparaître falement me s « coyens normx », affirmant une sexualé nfée dans l’pace privé.
Sans faire abstractn s motivatns et s jx d’appareil ayant ndu à c nomatns, on pt penser que le mon polique se représente « s » homosexuels — et que cx-ci se voient pt-être asi x-mêm — me dotés certa qualés pour l’entregent, la diplomatie et la munitn et qu’il entretient l’image d’homm cultivés, d’thèt raffés, amatrs d’art et amis s artist. Là où la plupart s personnalés poliqu se prêtent j la peopolisatn avec l médias et l’opn publique [68], en utilisant la mise en scène du privé me un moyen promouvoir un projet et une rrière — mais en s’exposant par là même risque du sndale — la plupart s homosexuels visibl se retranchent rrière une ontière gardée étanche: d’un pot vue people, il n’ont pas vie privée du tout. Le fa qu’ils et ell laissent d’une certae manière l médias divulguer quelqu aspects lr vie privée, -là l’aspect people tell rmatns, enurage la légimatn d’une homosexualé donnée à voir dans l’pace public et nfère une épaissr et un vécu g out qui, en France, rte largement désrné: nos poliqu, cert homosexuels, n’ont en fa pas vie privée.
Pour nclure, la visibilé homosexuelle dans le mon polique ançais n’a pu réellement se ncrétiser qu’à la f s anné 1990, à la favr d’un ntexte particulier: celui d’une légimatn ante entamée longue date, d’une délégimisatn l’homophobie moment s débats sur le Pacs, d’un qutnnement sur le « muntarisme » homosexuel et l’idée d’une « normalisatn » universaliste. Quelqu gais s’vtissent également dans le champ universaire, notamment Rommel Mendès-Leé, Gérard Bach-Ignasse et Pierre Dutey, réunis se du Groupe recherche et d’étu sur l homosexualés, fondé en 1986 (Sylvie CHAPERON, « L’histoire ntemporae s sexualés en France », Vgtième Siècle.
QUAND L GAYS VAIENT DRAGUER DANS L TOILETT PUBLIQU
Si l Français sont jourd'hui bien pl rpectux envers l LGBT, ils ntuent toutefois d'adhérer à s stéréotyp à lr manière me une tre vivre sa sexualéAlors qu'en 1975, mos d'un quart s Français nsidéraient l'homosexualé me une « manière acceptable vivre sa sexualé », ils sont 85% à penser jourd'hui que c't une « manière me une tre » le faire.
TOUT N'T PAS GAY DANS LA VIE
Et l pl « gay iendly », c't-à-dire bienveillants envers l personn homosexuell, ce sont « l femm, l jn, l athé, l diplômés, cx qui ont un statut social élevé, ou enre cx qui ont s proch homosexuels dans lr entourage », décrypte le parentalé pl acceptée puis le mariage pour toPour François Krs, l évolutns législativ me la loi sur le mariage pour to - votée en 2013 - et la pl gran représentatn s fal homoparental dans l médias ont ntribué à légimer c fal.
L'pace public et le marché du travail, zon grisL Français sont un p mos fermés ncernant la maniftatn l'homosexualé dans l'pace public: 33% trouvent « plutôt choquant » qu'un uple homosexuel s'embrasse dans un li public, un nive qui rte élevé mais en baisse 30 pots puis 1996. L March s fiertés choquent 26% s Français, so une baisse 20 pots puis résumer l'état l'avancée s Français sur le sujet, l trs l'étu ont soumis plirs affirmatns homophob x sondés: « l homosexuels ne sont pas vraiment s gens me l tr », « l homosexuels vraient éver montrer qu'ils le sont dans l lix publics »… Résultat: 71% s Français adhèrent à mos une c affirmatns.
COMMENT RENNTRER S HOMM GAYS OU BISEXUELS
Pire, elle hante l prs s homosexuels, et no oblige parfois, souvent, à no adapter et mentir pour éver la hae, pour vivre » © BtimageMounib MahjoubiDans une terview donnée Parisien, il revient sur sa jnse qui a été particulièrement pliquée: « Comme tout jne qui grand et qui prend qu'il t homosexuel ou d'inté genre différente, j'ai dû afonter llège et lycée s remarqu, s sult. © BtimageFreric MterandLors d’une terview pour le magaze Têtu, il révèle que son père ava réalisé avant lui-même qu’il éta gay: « Quand mon père m'a d 'A mon avis, je pense que tu préfèr l garçons et ne t'quiète pas, ce n't pas un problème, ça ne changera rien à nos relatns', j'ai nié » © AFPFrançoise Gaspard Françoise Gaspard t une femme polique anciennement députée PS. © BtimageJean-Luc RomeroLe g out Jean-Luc Romero sera bien pl difficile r il t victime d’un outg (révéler l'homosexualé ou la transinté d'une personne sans son nsentement)© BtimageJean-Luc Romerole 19 octobre 2000, le magaze révèle l’homosexualé l’homme polique, sans son nsentement.