Pre-exposure prophylaxis, monly known as PrEP, is a medice taken by gay men who are at risk of ntractg HIV. This meditn is taken ...
Contents:
- PREP FOR GAY MEN 101: EVERYTHG GAY MEN NEED TO KNOW ABOUT TAKG HIV PREVENTN MEDITN!
- WHAT IS PREP FOR GAY MEN: EVERYTHG YOU NEED TO KNOW
- LA SEXUALé GAY : LE BONHR DANS LA PREP ?
- « JE SUIS UN GAY SéRONéGATIF. JE VX ME PROTéGER, JE PRENDS LA PREP ! »
- IS PREP JT FOR GAY MEN?
- THE RELEVANCE OF PRE-EXPOSURE PROPHYLAXIS GAY MEN’S LIV AND THEIR MOTIVATNS TO E : A QUALATIVE STUDY
- SOME GAY AND BISEXUAL MEN SEE PREP AS A 'SOCIAL PROBLEM'
PREP FOR GAY MEN 101: EVERYTHG GAY MEN NEED TO KNOW ABOUT TAKG HIV PREVENTN MEDITN!
* prep pour gay *
It was a perd of uncertaty as healthre provirs stggled to make sense of the disease that was ravagg the gay muny. The gay muny, which was already spised and margalized for the way s members chose to live and love, was an easy victim. The disease was at that pot lled GIRD (Gay-Related Immunoficiency) and everyone assumed was a punishment flicted upon gay people for livg like generat.
Even healthre profsnals discrimated agast gay men fected wh the vis, and only a handful of them took those sufferg om and sought to, at the very least, make their last days fortable. Pre-exposure prophylaxis, monly known as PrEP, is a medice taken by gay men who are at risk of ntractg HIV.
This meditn is taken the form of a pill and helps prevent the vis om takg hold and spreadg wh the has bee an sential tool the fight agast HIV, and has proven to be highly effective when taken as you cur about PrEP for gay men? While PrEP is not jt for gay men, is a wily ed optn the gay muny among dividuals at risk for HIV transmissn. PrEP is remend for gay and bisexual men who are at high risk of gettg HIV om sex or jectn dg e.
WHAT IS PREP FOR GAY MEN: EVERYTHG YOU NEED TO KNOW
Mettre l gays so traement médimentx, x ais la sécuré sociale, pour lr permettre vivre une sexualé à risqu : telle t la nouvelle polique lutte ntre le sida adoptée… * prep pour gay *
If you are a gay man and are ncerned about your risk for HIV, is important to talk wh your healthre provir about whether PrEP is right for you. So the are some tips for tops/bottoms/versatile men who don't need a 101 crash urse, but a 401 masters level are 13 sex tips for gay guys who thk they know everythg about sex! Donc pour l homm gays, l pl touchés par l’épidémie, il n’y ra pas d’tre alternative que d’accepter ce nouve paradigme la préventn: médiliser sa sexualé en la plaçant so la protectn s laboratoir pharmactiqu, et lier son épanouissement sexuel bon vouloir s pt la sécuré sociale.
LA SEXUALé GAY : LE BONHR DANS LA PREP ?
HIV has affected gay men disproportnately the U.S. for four s. Pre-exposure prophylaxis (PrEP) was veloped as a preventn strategy for dividuals at high risk of HIV fectn. Although highly effective, many gay and other men who have sex wh men ntue not to take PrEP. Rearchers have foced on sexual risk behavrs as the primary termant of who should be on PrEP and intified var objective systemic and societal barriers to PrEP accs. Public health measur have promoted PrEP based on the objective creria. Rearchers have recently begun to quire to subjective and relatnal motivators for PrEP age beyond self-perceived risk. Participants were reced through snowball samplg. Data were llected between Augt and November 2018 om PrEP ers (n = 7) and PrEP non-ers (n = 6). Data were analyzed a modified ground theory qualative analysis. The thirteen participants’ narrativ ntaed three superordate tegori: (1) what ’s like to be someone on PrEP, (2) an environment of changg sexual norms, and (3) the ntued importance of tn. The tegori prised ten them, each of which had var repeatg ias. The ten them were the followg: (1) PrEP’s social acceptabily, (2) PrEP and HIV stigma, (3) PrEP and sexual relatnships, (4) dissatisfactn wh ndoms, (5) negotiatg risk, (6) peace of md, (7) velopg a relatnship wh PrEP, (8) puttg yourself first, (9) PrEP awarens, and (10) PrEP logistics. The gay men our study took to nsiratn their social rol and relatnships, their personal beliefs, and emotnal histori as well as risk as proment motivators for PrEP e. They stated that PrEP e is associated wh their sense of belongg, tst, and secury about their sexualy. They also intified the most relevant aspects of the meditn (e.g., si effects, adherence, and awarens) to their liv. * prep pour gay *
D’un outil que l’Agence natnale recherche sur le sida et l hépat (ANRS) no présenta en 2011 me très ciblé et à manier avec préutn, lors du lancement l’sai théraptique IPERGAY sté à évaluer son efficé en prise termtente, on t passé, à la sue d’une mpagne marketg ternatnale, à l’jonctn donnée x poliqu et x fancrs généraliser la PrEP, du mos, pour mencer, près s gays. To l disurs rassurants sur la préventn « bée » ou « diversifiée », qui expliquent que la PrEP ne do pas remplacer le préservatif mais venir un outil « supplémentaire » sont ntreds par l expérienc en urs: l agers la PrEP dans l’sai Ipergay étaient 86% en ju 2016 à ne pl utiliser le préservatif, ils étaient 77% dix-hu mois pl tôt[2], et on nstate la même chose à San Francis[3]. No allons être ramenés à la suatn l’avant-sida, lorsque la munté gay éta nontée à une grave épidémie d’IST et que l mécs sonnaient l’alarme et propageaient lrs nseils préventn dans la prse gay[4].
4) Pourquoi l promotrs la PrEP font-ils l’impasse sur la qutn s portements sexuels s gays? » Et cela t présenté me une réponse x difficultés que l gays renntrent dans l’utilisatn du préservatif.
Le médiment semble être perçu me un outil magique qui va permettre x gays s’énomiser une réflexn et une analyse lrs pratiqu sexuell. Souligner l’quiétante montée la prise risqu dans la munté homosexuelle, en particulier par certas gays séroposifs, t taxable moralisme, voire d’homophobie et sérophobie.
« JE SUIS UN GAY SéRONéGATIF. JE VX ME PROTéGER, JE PRENDS LA PREP ! »
Pourtant il ne s’ag pas d’une appréciatn subjective ou d’un jugement sur la sexualé gay, mais d’un nstat attté par s ditrs objectifs régulièrement exposés dans tout l enquêt scientifiqu[10]: beup gays ont un nombre partenair ocsnnels très supérir à la moyenne observée chez l hétérosexuels, ils utilisent mos en mos systématiquement le préservatif pour la pratique sexuelle qui présente le pl risque ntamatn (la sodomie), ils nstuent la populatn la pl touchée par l IST (85% s syphilis en France sont lié à s pratiqu homosexuell, la moié s gonorrhé, …), ils nsomment pl en pl drogu. Or l gays séroposifs nstuent une moré active qui fluence fortement la culture sexuelle gay. Cette gêne s associatns préventn vis-à-vis s séroposifs n’t pas nouvelle, la Cour s pt en 2009 ava, dans un tout tre ntexte où l’on ne parla pas enre du traement me préventn, souligné que « même dans l nx spécialisés diffn msag préventn en directn s homosexuels, l portements rponsabl s personn séroposiv ne sont pas valorisés.
IS PREP JT FOR GAY MEN?
Il t signifitif que p à p l portements s agers la PrEP rejoignent cx s gays séroposifs. Il t en tra se produire avec la PrEP exactement le même phénomène qu’avec le bareback x débuts s anné 2000: à cette époque, l gays séroposifs ont voulu s’épargner l’age du préservatif entre x, puisqu’il n’y ava pas risque ntamatn entre personn déjà ntamé. Le non-age du préservatif s’t vu pl en pl valorisé dans l’ensemble la munté homosexuelle.
Abandonner le safer sex quand on pratique le multi-partenariat ne sera jamais une réductn s risqu, mais exactement l’verse[12] observatn s évolutns s pratiqu sexuell dans la munté gay vra donc cer l promotrs la PrEP à être pl pnt: ils surtiment la puissance l’ordonnance.
THE RELEVANCE OF PRE-EXPOSURE PROPHYLAXIS GAY MEN’S LIV AND THEIR MOTIVATNS TO E : A QUALATIVE STUDY
Imagent-ils que le public ciblé par la PrEP, à savoir l homosexuels et bisexuels séronégatifs qui délaissent la pote, et s’exposent donc massivement à tout l IST, vont se soumettre à une observance médimentse rigourse sur le long terme pl facilement qu’ safer sex? Et l gays séronégatifs vont-ils être pl observant lr traement, mrant très pliqué quand il t « termtent », que s malas obligés le prendre?
C’t un pari dacix qui risque bout du pte d’imposer x homosexuels une ntrate tout ssi pante, et mos directement probante, que le port du pré réponse médile et merciale x problèm santé sexuelle s gays ne semble pl avoir lime, l’arsenal médimentx va venir très fourni: antirétrovirx pour le VIH (curatifs ou préventifs), antibtiqu pour l IST, stimulatrs sexuels pour la performance et drogu pour fir en beté! Mais me l’a déclaré en réunn la missn Paris sans sida la représentante la Mairie Paris[13]: « on n’a pas à dire x gays quelle do être lr sexualé.
» Il fut pourtant une époque où l gays x-mêm ventaient s moyens pratiquer une sexualé libre mais à modre risque[14], c anné-là, ils taclaient l laboratoir pour qu’ils trouvent un remè, jourd’hui l mêm laboratoir élargissent lr marché potentiel.
SOME GAY AND BISEXUAL MEN SEE PREP AS A 'SOCIAL PROBLEM'
Pourquoi l promotrs l’sai IPERGAY ont-t-il refé parer lr stratégie avec un programme unselg alternatif axé sur l’édutn safer sex et non à la prise d’un médiment? Curise ïncince, lorsque l’ANRS, dirigée par l iatrs la PrEP[19], préparaient à partir 2009-2010 le lancement d’IPERGAY (l’sai le pl utx jamais entrepris par l’agence, so la somme banale 10 lns d’ros[20]), la recherche du doctr Jacqu Leibowch éta éndue.
Non pas à la mise en place d’un outil préventn spécifique, sté à un public particulier et très ciblé, et « qui so réalisé avec un acpagnement (unselg) visant à favoriser l’adhésn à cette modalé préventn et l’adoptn à terme pratiqu sexuell à modre risque vis-à-vis tout l IST[21] », mais lancement d’une vaste mpagne « mise so PrEP » tout l populatns d jadis « group à risqu », et en premier li l gays, sls à nnare une gmentatn s ntamatns c rnièr anné. Lorsqu’on éute le grand ordonnatr cette mpagne, le profsr Jean-Michel Mola, on t appé son optimisme ant[22]: il parle révolutn, s’exalte en annonçant x gays qu’ils doivent être l premiers à être débarrassés cette épidémie, il mimise la qutn la progrsn s IST et expérimente même dans son hôpal la prise d’antibtiqu préventifs pour la juguler[23].
Il déclare dans la revue Transversal du Sidactn (numéro 82, ju/juillet 2016) « qu’il y ava 400 personn dans IPERGAY, il ft désormais passer à mos 4000 personn à Paris et en Île--France, pour ne pas dire 40 000! Pourtant en 2013, no avns nstué un llectif tulé « Parlons Q: la sexualé gay dans to s états »[24], no avns publié un rapport rendant pte discsns qui avaient duré plirs mois, en remandant une tre polique santé publique qui fasse appel à l’telligence la munté gay et non à son nsumérisme. Une vérable préventn portementale qui refe que l gays soient nsidérés me pabl développer une culture sexuelle libre et patible avec lr santé avons donc actuellement bel et bien un choix polique et énomique, pris par la mistre la santé, donc du gouvernement, repris nive lol par l’équipe dirigeante la Ville Paris.