Today, might seem like any other rmal, sual photograph of a young gay uple enjoyg each other's pany. But this picture, fact, reveals…
Contents:
- A GLIMPSE OF GAY PRI THE 1950S
- GOVERNMENT PERSECUTN OF THE LGBTQ COMMUNY IS WISPREADFRANK KAMENY APPEALED HIS 1957 FIRG BY THE U.S. ARMY THE FIRST KNOWN LEGAL PROCEEDGS THAT ED PRO-LGBTQ+ ARGUMENTS. THE 1950S WERE PERILO TIM FOR DIVIDUALS WHO FELL OUTSI OF SOCIETY’S LEGALLY ALLOWED NORMS RELATG TO GENR OR SEXUALY. THERE WERE MANY NAM FOR THE DIVIDUALS, CLUDG THE CLIL “HOMOSEXUAL,” A TERM POPULARIZED BY PNEERG GERMAN PSYCHIATRIST RICHARD VON KRAFFT-EBG. IN THE U.S., PROFSNALS OFTEN ED THE TERM “VERT.” IN THE MID-19TH CENTURY, MANY CI FORMED “VICE SQUADS” AND POLICE OFTEN LABELED THE PEOPLE THEY ARRTED “SEXUAL PERVERTS.” THE ERNMENT’S PREFERRED TERM WAS “VIANT,” WHICH ME WH LEGAL NSEQUENC FOR ANYONE SEEKG A REER PUBLIC SERVICE OR THE ARY. “HOMOPHILE” WAS THE TERM PREFERRED BY SOME EARLY ACTIVISTS, SMALL WORKS OF WOMEN AND MEN WHO YEARNED FOR MUNY AND FOUND CREATIVE WAYS TO RIST LEGAL AND SOCIETAL PERSECUTN. WH DRAFT ELIGIBILY OFFICIALLY LOWERED OM 21 TO 18 1942, WORLD WAR II BROUGHT TOGETHER LNS OF PEOPLE OM AROUND THE UNTRY–MANY OF WHOM WERE LEAVG THEIR HOME STAT FOR THE FIRST TIME–TO FILL THE RANKS OF THE ARY AND THE FERAL WORKFORCE. AMONG THEM WERE GAYS AND LBIANS, WHO QUIETLY FORMED KSHIPS ON ARY BAS AROUND THE WORLD. THEY SERVED SILENCE, ALWAYS FEARFUL THAT REVEALG THEIR INTY TO A POTENTIAL NEW PARTNER OR IEND ULD GET THEM DISHONORABLY DISCHARGED, IF NOT URT MARTIALLED. THE ARY FIRST VELOPED FORMAL PUNISHMENTS FOR HOMOSEXUAL BEHAVR DURG WWI, AND OVER TIME VELOPED CREASGLY PROBG MEANS TO ROOT OUT “VIANTS” OM WH AND PREVENT THEM OM ENLISTG. IN 1953, PRINT DWIGHT EISENHOWER IMPLEMENTED NEW STANDARDS FOR CIVIL SERVANTS THAT BANNED HOMOSEXUALS OM SERVG MANY POSNS. THE LAVENR SRE THOANDS OF MEMBERS OF THE ARY AND CIVIL SERVANTS WOULD BE DISMISSED BEE OF L AGAST HOMOSEXUAL BEHAVR. A FEW ANECDOT SEEMED TO SUPPORT THE ERNMENT’S REASONG HOMOSEXUALS WERE A GRAVE SECURY THREAT BEE THEY ULD BE BLACKMAILED BY FOREIGN ERNMENTS. THE IA WAS HARD TO UNTER AS FEW HOMOSEXUALS WERE A POSN TO PUBLICLY DISCS THEIR INTY. IN THE YEARS FOLLOWG WWII, HOMOSEXUALS WERE MORE DIRECTLY TIED TO MUNISM. THE COLD WAR PERD GAVE RISE TO SENATOR JOSEPH MCCARTHY, WHO EXPLICLY TARGETED “VIANTS,” NOT ONLY ERNMENT SERVICE, BUT ALSO HOLLYWOOD AS PART OF A LARGER PROJECT TO RID AMERI OF S UNSIRABLE ELEMENTS. THE HIGHLY PUBLICIZED EFFORT TO RID THE U.S. OF MUNISTS ME TO BE KNOWN AS THE “RED SRE,” WHILE THE EFFORT TO DISMISS HOMOSEXUALS WOULD LATER BE TERMED THE “LAVENR SRE.”THERE WERE NO OUT LGBTQ+ ELECTED OFFICIALS THE ENTIRE UNTRY.PLI MURRAY PUBLISH BOOK OUTLG CIVIL RIGHTS MOVEMENT STRATEGY
- THE GAY BARS AND VICE SQUADS OF 1950'S LOS ANGEL
- HOW GAY CULTURE BLOSSOMED DURG THE ROARG TWENTI
- CHAPTER 11 - GAY AND LBIAN LERARY CULTURE THE 1950S
- GAY PRI THE 1950S: THE PHOTO BOOTH AS A SAFE SPACE
- GAY RIGHTS
- GAY MEN LOVE: 1850S TO 1950S
- 10 GREAT FRENCH GAY FILMS
A GLIMPSE OF GAY PRI THE 1950S
ONE Natnal Gay & Lbian Archiv shar a rare glimpse at gay life the 1950s honor of LGBT Pri month. * gay années 1950 *
Anné 1950: le climat réprsn sexuelle qui règne en France t largement présent à l’étranger, l bouleversements la guerre et l’Occupatn provoquent la hantise s désordr socix et la délquance, le tholicisme vo son fluence polique progrser en Allemagne l’Out, en Italie, x Pays-Bas et en France davantage enre qu’à cun tre moment urs du XXème siècle, c’t le temps hégémonique la démocratie chrétienne en Europe; en Allemagne l’Out, la populatn prottante étant plutôt en RDA, l’exorcisme l’hérage nazi va avec celui du désordre moral (homosexualé et nazisme étant p ou prou assiés) et la législatn nazie ntre l’homosexualé t matenue; en 1951, un procès à Francfort aboutira à 100 arrtatns, 75 ndamnatns et 5 suicis, s lois nouvell pour protéger la jnse et ntrôler l publitns qui lui sont stée, seront adopté en 1953 et 1954 en Allemagne; dans le même temps, la qutn l’inté sexuelle s’impose davantage dans la morale sociale; historien membre d’Ardie, Duche parlera la aln perverse, à la Libératn, du « puranisme marxiste et la morale sacristie du MRP ».
Mrice, André Bdry so celui André Romane, la revue éta envoyée so pli cheté avec s suppléments payants (photo boy habillé ou pas, lendrier, albums photos, et surtout pet annonc renntre mais ssi d’emploi ou logement); il se souvient du lol spacix dont disposa la revue à Zurich avec son bar-rtrant et s ftivés (bals et soiré câl, mardi-gras drag-queen à dimensn ternatnale ouverts x gays et travtis s pays voiss); il explique ment cette revue a aidé Bdry à nstire un projet, en 1953 Bdry qui ava reçu nombrx abonnés Der Kreis à Paris a l’idée d’aniser pendant l 3 mois d’été un séjour dans une maison Sate-Maxime, grâce soutien fancier Der Kreis, mais si ce fut un succès en ce qui ncerne la participatn s vanciers homophil ce fut un désastre fancier dont Bdry a tiré la leçon; dès lors Bdry anise à Paris réunns et banquets dans s sall privé rtrant amis, jqu’à la créatn d’Ardie en janvier 1954, so l’impulsn Jacqu Riumont et avec le soutien Jean Cocte et Roger Peyrefte, le succès la revue sera péré avec 2 000 abonnés et bientôt 4 000. Je me branlais cq fois sur le rps du pet Mohamed »; en 1895 il a ntracté un mariage avec sa e, mais déuvrira ve qu’il t pable d’avoir la modre érectn face à une femme, pour Malee c’t une déceptn, le voyage noc 7 mois en Suisse, Italie et Algérie, a été un mariage blanc, mais so la surveillance nstante son époe, et lorsque le 9 avril 1899 il a rsé 3 éliers dans le tra d’El Kantara à Alger, sa femme l’ai traé « crimel » et « fou »; retour à Paris il a quté le foyer njugal to l soirs, nnaissant p à p to l protués par lr nom; en janvier 1902 x Bas du Cirque il retrouva Ee, apprenti-taillr « Praxèle vivant »; en 1907 son ami le député Eugène Rouart l’va dans sa prpriété Hte-Garonne et lui arrangea s renz-vo avec s fils fermiers (me Fernand Pouzac 17 ans); en 1911 Gi t le premier, dans l’histoire la ltérature ançaise, à faire l’apologie l’homosexualé dans Corydon publié à pte d’tr, sans nom d’tr, réédé en 1924 so sa signature; à Florence en 1912 il apprécie beup le David Donatello et drague l pets pêchrs sur l’Arno; en 1916 il a renntré Marc Allégret, 16 ans, chez l époux Van Rysselberghe, il l’appela la pete dame en raison sa pete taille, c’éta le up foudre, il le guetta à la sortie du lycée Janson Sailly sans oser l’aborr, sa femme Malee l’a supplier ne pas sucber à cet amour, pourtant en mai 1917 ils sont ven amants « le grand amour ma vie », une longue liaison qui sera très enrichissante pour Allégret, en 1925 ne supportant pl sa femme Gi t parti Congo avec Allégret et son époe pour se venger a brûlé tout l lettr écr par Marc Allégret à André Gi; Elisabeth von Rysselberghe a donné naissance à Cathere en 1923, dont Allégret a rennu la partené à la mort Malee; Der Kreis qui lui nsacre un n° entier écr « Il t et rte « notre ree », notre chef file, celui dont l’homosexualé fut relevée dans to l articl nécrologiqu… Personne pl que lui n’a relevé notre mouvement x yx du mun s mortels, ne lui a donné son dro à la vie, son sens philosophique et sa portée morale »; du Dognon félice Gi d’avoir le urage dire « oui » mais regrette un p qu’il a pris so « mettre entre s lectrs et lui pl 2 lénair »; Maria von Rysselberghe qui a renntré André Gi en 1898 a rédigé 3 000 pag Cahiers tout long la vie d’André Gi 1918 1951; 10 personn son présent lors s rniers jours: sa fille Cathere, la mère Cathere, Elisabeth, Maria von Rysselberghe, le mari Cathere, Jean Lambert, le mari d’Elisabeth, Pierre Herbart, Marc Allégret, l’amant d’trefois, le protégé, Domique Drou, le nev et propriétaire du châte Cuverville où Gi sera enterré, Roger Mart du Gard, le nfint et ami défectible, Jean Schlumberger, le moraliste grand bourgeois fondatr la NRF, et Jean Denoël qui a accueilli l’écriva Maroc en 1944; à l’iative Drou, sans doute, mais avec le désacrd plet s tr, un pastr prend la parole sur sa tombe; Pl Cll dans sa rrpondance avec André Gi, révélée en 1949, lui écriv: « Si vo n’êt pas pédéraste, pourquoi cette étrange prédilectn pour ce genre sujets?
Désormais la psychanalyse, acquiert une fluence croissante pour donner une utn « scientifique » x préjugés tradnnels envers l « dévianc sexuell », c’t le temps s pérs d’analyse pour « guérir » l’homosexualé; le Traé du ractère d’Emmanuel Mounier, philosophe tholique – passé d’une approbatn nuancée du régime Vichy à une anche opposn – rédactr en chef la revue Espr, présente le rôle plémentaire la psychanalyse et la relign dans ce domae, il exerce une immense fluence sur nombrx hom poliqu par sa philosophie du personnalisme, il pose un cri d’alarme sur la « dévirilisatn » la société, et son Traé du ractère en 1947 sse l stctur social et psychologiqu nécsair développement d’une personnalé « normale », il souligne la phase « dangerse » s tendanc homosexuell l’enfance: « La fixatn maternelle entraîne le garçon vers l’impuissance… pl tôt le garçon ra l chevx upés et sera habillé en garçon, pl tôt la fille sera en robe et mix cela vdra. Octobre 1952: patn du 1er numéro du journal Futur pour la dénonciatn du puranisme régnant et ntre la persécutn s homosexuels, « ane bat et d’rmatn pour l’égalé et la liberté sexuell et pour le rpect absolu la personne humae » avec son édorial « Tartuffe, me le Phénix, se relève s cendr », son fondatr Jacqu Thiblt, t âgé 22 ans; il bat l’obssn ançaise croissance démographique, et ne s’térse qu’à l’homosexualé mascule, n’ayant guère sympathie pour l homm effémés, c « homosexuels d’étalage » pour lquels « le sac à ma t une rrigible pagne », il se réfère souvent à Gi, célèbre la jnse et le culte du rps, avec s photos suggtiv d’adolcents, la plupart s articl dénoncent la vague la réprsn sexuelle qui s’abat sur la France, le MRP t qualifié Mouvement s refoulés pratiquants, Pierre-Henri Tegen « Tegen le Terme ou Beno Tegen », et Menthon « Menthon-la-prison qui a ramassé dans l poubell Vichy son oase », le décret février 1945; il t ntrat fermer par la jtice; « C’éta une vraie révolutn… quelque chose d’extraordaire pour la France » dira un lectr; il t terd x mrs dès le 1er numéro et terd à l’affichage selon l term la loi sur la protectn la jnse 1949; dans le 3ème n° André Bdry fa paraître un article crique du livre Marc Oraison La vie chrétienne et l problèm sexualé; en 1953, Thiblt et un s amis sont ndamnés pour avoir s relatns sexuell avec s mrs; le journal disparaît et reparaîtra ju à novembre 1955; 19 numéros ront été publiés façon sporadique. ), puis repris en ma par un méc et un prêtre qui sayaient le « nvertir » mais ne résissaient pas à le « sver » d’une rechute dans l abim du « vice » jqu’àune rixe fatale et une mort « libératrice » à 23 ans, le héros acquté fte prve sue à une accatn d’attentat à la puur se nvert, et après une histoire d’amour passnné, il mrt à 23 ans réncilié avec Di; Ardie t divisée, André Bdry en fa une crique favorable dans Der Kreis mais Duche et un tre llaboratr sont très réservés, Futurs parle d’une œuvre pernicise, Gabriel Marcel parle « l’éraire d’une âme pécherse vers Di », en 1982 Rend Cam jugera que ce livre donne « une image sistre l’homosexualé, enserrée dans une culpabilé étouffante », Domique Fernanz en 1989 verra en lui le 1er roman ançais vérablement homosexuel mais le trouvera en 2004 « lourd et plrnichard (uvrant) son ttamarre dramatique l’agile et solaire Âge d’or Pierre Hérbart »; en 2010 Julian Jackson retiendra ce msage du livre « la tentative Jean-Pl pour anéantir son homosexualé l’anéant ssi »); le thème la relign t repris par Carlo Ciccli (Fabriz Lupo) ou le brannique Walter Baxter (Look Down Mercy).
GOVERNMENT PERSECUTN OF THE LGBTQ COMMUNY IS WISPREADFRANK KAMENY APPEALED HIS 1957 FIRG BY THE U.S. ARMY THE FIRST KNOWN LEGAL PROCEEDGS THAT ED PRO-LGBTQ+ ARGUMENTS. THE 1950S WERE PERILO TIM FOR DIVIDUALS WHO FELL OUTSI OF SOCIETY’S LEGALLY ALLOWED NORMS RELATG TO GENR OR SEXUALY. THERE WERE MANY NAM FOR THE DIVIDUALS, CLUDG THE CLIL “HOMOSEXUAL,” A TERM POPULARIZED BY PNEERG GERMAN PSYCHIATRIST RICHARD VON KRAFFT-EBG. IN THE U.S., PROFSNALS OFTEN ED THE TERM “VERT.” IN THE MID-19TH CENTURY, MANY CI FORMED “VICE SQUADS” AND POLICE OFTEN LABELED THE PEOPLE THEY ARRTED “SEXUAL PERVERTS.” THE ERNMENT’S PREFERRED TERM WAS “VIANT,” WHICH ME WH LEGAL NSEQUENC FOR ANYONE SEEKG A REER PUBLIC SERVICE OR THE ARY. “HOMOPHILE” WAS THE TERM PREFERRED BY SOME EARLY ACTIVISTS, SMALL WORKS OF WOMEN AND MEN WHO YEARNED FOR MUNY AND FOUND CREATIVE WAYS TO RIST LEGAL AND SOCIETAL PERSECUTN. WH DRAFT ELIGIBILY OFFICIALLY LOWERED OM 21 TO 18 1942, WORLD WAR II BROUGHT TOGETHER LNS OF PEOPLE OM AROUND THE UNTRY–MANY OF WHOM WERE LEAVG THEIR HOME STAT FOR THE FIRST TIME–TO FILL THE RANKS OF THE ARY AND THE FERAL WORKFORCE. AMONG THEM WERE GAYS AND LBIANS, WHO QUIETLY FORMED KSHIPS ON ARY BAS AROUND THE WORLD. THEY SERVED SILENCE, ALWAYS FEARFUL THAT REVEALG THEIR INTY TO A POTENTIAL NEW PARTNER OR IEND ULD GET THEM DISHONORABLY DISCHARGED, IF NOT URT MARTIALLED. THE ARY FIRST VELOPED FORMAL PUNISHMENTS FOR HOMOSEXUAL BEHAVR DURG WWI, AND OVER TIME VELOPED CREASGLY PROBG MEANS TO ROOT OUT “VIANTS” OM WH AND PREVENT THEM OM ENLISTG. IN 1953, PRINT DWIGHT EISENHOWER IMPLEMENTED NEW STANDARDS FOR CIVIL SERVANTS THAT BANNED HOMOSEXUALS OM SERVG MANY POSNS. THE LAVENR SRE THOANDS OF MEMBERS OF THE ARY AND CIVIL SERVANTS WOULD BE DISMISSED BEE OF L AGAST HOMOSEXUAL BEHAVR. A FEW ANECDOT SEEMED TO SUPPORT THE ERNMENT’S REASONG HOMOSEXUALS WERE A GRAVE SECURY THREAT BEE THEY ULD BE BLACKMAILED BY FOREIGN ERNMENTS. THE IA WAS HARD TO UNTER AS FEW HOMOSEXUALS WERE A POSN TO PUBLICLY DISCS THEIR INTY. IN THE YEARS FOLLOWG WWII, HOMOSEXUALS WERE MORE DIRECTLY TIED TO MUNISM. THE COLD WAR PERD GAVE RISE TO SENATOR JOSEPH MCCARTHY, WHO EXPLICLY TARGETED “VIANTS,” NOT ONLY ERNMENT SERVICE, BUT ALSO HOLLYWOOD AS PART OF A LARGER PROJECT TO RID AMERI OF S UNSIRABLE ELEMENTS. THE HIGHLY PUBLICIZED EFFORT TO RID THE U.S. OF MUNISTS ME TO BE KNOWN AS THE “RED SRE,” WHILE THE EFFORT TO DISMISS HOMOSEXUALS WOULD LATER BE TERMED THE “LAVENR SRE.”THERE WERE NO OUT LGBTQ+ ELECTED OFFICIALS THE ENTIRE UNTRY.PLI MURRAY PUBLISH BOOK OUTLG CIVIL RIGHTS MOVEMENT STRATEGY
In Los Angel throughout the 1950s, gay men lived unr nstant harassment by the police. They risked ostracism and loss of employment if outed. * gay années 1950 *
4 avril 1953: mort Rachil (Marguere Eymery, madame Aled Vallette 1860-1953), égérie la maison d’édn Mercure, renz-vo s symbolist dans l anné 1890-1910, admirée par Mrice Barrès, Barbey d’Aurevilly, l èr Gonurt, Huysmans, Mendès, Osr Wil, Verlae, Jean Lorra ou enre Louis II Bavière, elle a une ur jn adoratrs dans s bars favoris, avec s spectacl et s soiré privé, en particulier Nilaï Nil, Nel Haroun son nom d’artiste, dont il t le gigolot, ne craignant pas d’être le micheton; la femme nue t l’une s figur fondamental s revu, pl en pl dacis et opulent urs s anné vgt, dans le mic-hall à s Apollons se mêlaient à c femm; elle équente le salon Natalie Barney avec son amante Maryse Choisy, s’habille et se iffe à la garçonne, publie Monsir Ven en 1884, liaison d’un aristocrate avec un ouvrier flriste, Madame Adonis en 1888, Le Prisonnier 1928, La Fille nnue 1938, elle nnaît un succès rapi, l’homosexualé mascule t le sujet La Tour d’amour 1899, La Souris japonaise 1921, Notre-Dame s Rats 1931, le lbianisme t le sujet La Hae amourse 1924; elle accepte un mariage blanc avec Aled Vallette, directr la revue Mercure France et reço dans le salon la revue symboliste tout ce que Paris pte d’écrivas celèbr; ayant attet la rpectabilé, elle t torisée par la Préfecture police à porter l’hab d’homme. Janvier 1954: patn du premier n° d’Ardie, Revue ltéraire et scientifique, elle t terde à l’affichage en avril, André Bdry marque et marquera la revue; même si c’t Roger Peyrefte qui a proposé le nom, évotr la Grèce ancienne, parlant s « jn bergers grecs x tendr appas, jouant la flute dans l champs d’asphodèl »; André Bdry qui a perdu sa mère très jne, a été placé dans un pensnnat religix où il a fa toute son édutn, attet tuberculose, il a mencé puis arrêté s étus sémaire, pour être envoyé en sanatorium, puis il t venu profsr philosophie dans une éle privée; annonçant sa fondatn Bdry écr « La France t en Europe, l’un s sls pays à n’avoir pas enre un tel moyen d’exprsn », il fa référence à la Déclaratn universelle s dros l’homme 1948, me le fa le mouvement homophile danois et l’ISCE; « La personnalé d’André Bdry a domé tout à fa, absolument… Ardie a été créée par Bdry, dirigée par Bdry et dissoute par Bdry » dira l’un s fondatrs, bras dro Bdry dès l 1ers jours; né le 31 août 1922 à Rethons dans une fale bourgeoise, son père t avot, il n’a pl fale à l’âge 8 ans, à la mort sa mère en 1930 son père – plutôt différent – l’a mis llège Sat François-Xavier Laval; sa sœur t décédée en 1934, le llège a été sa fale substutn, pendant la guerre mala la tuberculose il s’t retrouvé en sanatorium dans une ambiance qui lui rappela le llège et lui plaisa, même si l nsign sont dranienn (mis en gar ntre la masturbatn, la tuberculose étant sceptible produire une toxe ant l’homosexualé), en 1943 il entra sémaire, mais l’a quté en 1945 après une tentative malhabile séductn la part son « directr nscience » (so prétexte boculer sa timidé, il l’ve à poser sa tête sur sa pore après l’avoir fa s’allonger sur son l), Bdry refe « fir me ça » dans « le mensonge anisé »; quand il fonra Ardie il ne sera retenu par cune puur vis-à-vis sa fale; il enseigne la philosophie llège s jésu Sat Louis Gonzague, à Paris, et endre une lonie vanc s ouvriers s aciéri Longwy; né en 1922, il v sa 1ère expérience homosexuelle en 1948, il a 24 ans, il arpente Paris avec son ami Jean Garnier, ancien sémariste ssi, ils repèrent l visag qui l troublent; il écr quelqu pièc théâtre et un texte Exercic spiruels (un jne sémariste, à pee ordonné sub l avanc d’un rdal à Rome) qu’il fa lire par Roger Peyrefte (celui-ci en utilisera quelqu éléments dans son roman l Clés St Pierre) et à André du Dognon Pomera (1910-1986) qui, origaire la bourgeoisie du sud-out, a vécu la vie homosexuelle effervcente l’entre-ux guerr à Paris et a publié l Amours buissonnièr en 1948, roman tobgraphique qui décr la vie gaie s anné 1930 à Montparnasse, avec un riche aristocrate le te Pomera qui lui a donné son nom dans un hôtel, ils tiennent un hôtel où du Dognon regar l ébats s clients puis ils ouvrent un salon homosexuel (où se côtoient aristocrat et apprentis écrivas); Bdry a renntré dans ce salon le te Jacqu Riumont, et grâce à lui il a entendu parler la revue du mouvement homophile suisse Der Kreis (le Cercle), bilgue, fondée en 1932, publiée à Zurich, il t sédu, il ofe s servic à Ge Welti et lui envoie nombrx text (sur la jnse, la philosophie, la théologie, etc.
Il y a un mot que je détte par-ss tout, c’t celui d’anormal… je clame ht (la) tolérance, je réclame le rpect… dans la digné la personne et dans la certu sa véré e sa pureté, être sûr soi et le dire »; f 1952, il ntacte le Comé ternatnal pour l’égalé sexuelle (ISCE) dont il vient le délégué pour la France, il donne s avis: négatifs à l’égard d’un certa Guy Fourqux (dirigeant l’agence renntr Paris-Club), Mrice Rostand (« trop maniéré »), Jean Thiblt (rédactr à Futur « assez rédu tellectuellement »), ou posif, à l’égard Jean-Pl Sartre pour le procha ngrès l’ICSE en 1953; Ge Welti ( Der Kreis) écr à Bdry qu’il t plutôt défavorable à « un ngrès personn notre bord… il ft que no travaillns plutôt « en douce », alors que Bdry pense que « l maniftatns publiqu… sont parfois nécsair »; après avoir dirigé un mp d’été pour jn homosexuels dans une villa Sate-Maxime qui lui laissera un mvais souvenir (r sympathique et sage début puis plètement débridé à la f), Bdry participe 3èmengrès l’ICSE en septembre 1953, il y fa un exposé sur « la formatn psychologique et sexuelle l’adolcent homophile »; f 1953, il y a 200 personn à s réunns parisienn, il envisage dès lors la créatn d’une anisatn ançaise dépendante, puis une vraie revue mensuelle; c’t Roger Peyrefte suggère le nom d’Ardie; le 1er n° porte 50 pag, sobr, sans illtratn, 4 sss garçons chast dont un Cocte, avec s text Bdry, Cocte, Roger Peyrefte, du Dognon, s poèm Catulle, Michel-Ange et Whmann, et une biblgraphie livr pas puis 1940; Cocte écr: « J’time qu’il m’t dispensable vo prouver par quelqu lign l’admiratn profon que j’éprouve en voyant s homm remonter force une pente parse et répondre à la stctn par la nstctn, x par l’ébche s nouvex »; Ge Welti se fâche et acce Bdry déloyté; parmi l 8 signatair la circulaire annonçant la créatn d’Ardie f 1953, sl le nom du « te Riumont » t remarqué, et l sls ntributrs nn du public sont Cocte, Peyrefte et du Dognon, to l tr apparaissent so psdonyme, le pédopsychiatre Ge Hyer répond négativement (« J’ai reçu nombrx homosexuels, ils venaient me manr un traement, une ai, un seurs pour remédier à la suatn anormale dont ils soufaient, ils étaient malhrx et poyabl »), Marc Oraison refe (« vo m’embarrassez terriblement!
… il y a s imbécil partout, même dans le clergé… ma suatn exige que je sois extrêmement pnt »… « l’homosexualé (terme pl précis et pl exact que l’homophilie) t une anomalie l’stct dont l victim sont l premièr à soufir »), Henri Montherlant refe, Carlo Coccli tr du roman Fabriz Lupo (1952) répond à côté (« j’ai horrr tout prosélytisme fa à travers la ltérature… vo êt, si on vo regar so un certa angle, une sorte d’apôtre; moi non »), Julien Green t d’une réticence extrême – il publie Le Malfar en 1955 roman tocensuré dans lequel le héros va se suicir sans avoir répondu à l’affectn sa femme (ce n’t qu’en 1973 que l’édn tégrale révèlera la raison du suici, l’homosexualé) –, un article assez explice (source soucis judiciair pour Bdry) d’Eric Jourdan fils adoptif Green paraîtra, mais Green n’écrira jamais rien pour Ardie, Marguere Yourcenar louvoie (« je me man si, en dép du urage et la volonté scéré très louable… Ardie ne risque pas sservir plutôt que servir vos vu… pour lutter ntre (la) nfn, trop naturelle après s siècl « polique silence » xquels cette qutn a été soumise, je préfèrerais quant à moi un bullet pl scientifique que ltéraire, ton pl ntrôlé », Marcel Jouhan (1888-1979) répond btalement (« Je suis on ne pt pl hostile à votre projet, mon père dès mon pl jne âge m’a fa promettre n’appartenir à cune société, à cun parti, à cun groupement… c’t en pagnie cx qui me rsemblent que je me déplais, que je m’ennuie… la vue s pédérast en particulier, groupés surtout, me soulève le cœur… jourd’hui l goûts qui sont ven miens, mais que je dome, sont tombés dans une telle promiscué, une si odise vulgaré l entoure… je ne suis pas du tout fier d’en être. Loi 1949) et dès lors terde bénéficier s tarifs postx réservés x pérdiqu (décret du 26 mars 1954) semant un vent panique parmi l abonnés, la revue s’en sort en faisant appel soutien fancier et en lançant en octobre une page pet annonc (750 f l 10 mots) provoquant l’ire Guy Fourqux, directr du club rrpondance Paris-Club, qui le vo me un ncurrent; l’ISCE souhae aniser son ngrès à Paris (Cor Huisman représente l’ISCE à Paris), Bdry siste pour rter le sl maître l’anisatn et refe d’toriser Futur – qui vient reparaître – à y participer officiellement, le é l’ISCE t d’acrd avec le fa que Futur pose un problème avec son attu équivoque vis-à-vis la sexualé s jn et refera l’affiliatn s rédactrs Futur en 1955; Bdry refe d’associer un tre groupe, le Verse, à l’anisatn du ngrès et l’ISCE t ntrate s’cler pte tenu ce que représente Ardie; le philosophe tholique Gabriel Marcel et l’historien Philippe Ariès ont accepté participer ngrès, mais Gabriel Marcel t épouvanté par un article prse qui révèle sa présence à un événement émanant d’une anisatn homosexuelle, l’ISCE fa tout pour le faire changer d’avis – décrédibilisant quelque p Bdry – sans succès, et 10 jours avant le ngrès Bdry annule la participatn d’Ardie so prétexte que l’ISCE a repris l ntacts avec le Verse malgré lr acrd, et Ariès ne participe pas non pl; Gabriel Marcel ava été sollicé par l’ISCE malgré son opn p favorable: » l homosexuels ne sont nullement quiétés, ils nstuent une vérable anc-maçonnerie, qui dans certa branch semble même tenir l leviers man »; Hillairet nsacre 3 articl à Frd, il regrette sa posn falement très « décevante » en matière d’homosexualé, et « timi par rapport à celle Hirschfeld », mais admire « le fondatr génial la psychologie scientifiqu, l’homme uragx qui a osé afonter le tabou qui enveloppa le domae la sexualé… le non-nformiste qui a dénoncé la profon hypocrisie la vie sociale »; l n° la revue fourniront une biblgraphie: romans pas puis 1940 (Peyrefte, Ge, Pierre Herbart, du Dognon, Roger Stéphane), bgraphi et tobgraphi (Gi, Verlae, Sartre sur Ge), ouvrag scientifiqu (Havelock Ellis, Krafft-Ebg, Steckel, Hirschfeld), étus divers (Oraison, Gi, Hirschfeld), livr étrangers tradus en ançais (Wil, Mann, Walter Baxter, Coccli, Jam Barr, Gore Vidal), romans publiés avant 1940 (Gi, Prot, Yourcenar, Bet-Valmer, Achille Essebac, Rachil) et romans traant cimment l’homosexualé (Moravia, Roger Mart du Gard).
THE GAY BARS AND VICE SQUADS OF 1950'S LOS ANGEL
Our celebratn of post-war gay, bisexual, and straight movie stars wearg next to nothg at all. * gay années 1950 *
HOW GAY CULTURE BLOSSOMED DURG THE ROARG TWENTI
Durg Prohibn, gay nightlife and culture reached new heights—at least temporarily. * gay années 1950 *
CHAPTER 11 - GAY AND LBIAN LERARY CULTURE THE 1950S
* gay années 1950 *
GAY PRI THE 1950S: THE PHOTO BOOTH AS A SAFE SPACE
The gay rights movement the Uned Stat began the 1920s and saw huge progrs the 2000s, wh laws prohibg homosexual activy stck down and a Supreme Court lg legalizg same-sex marriage. * gay années 1950 *
GAY RIGHTS
In the face of overwhelmg harassment and persecutn of homosexuals durg the 1950s, a certa plucky queer magaze based downtown Los Angel was steadfast s polil missn to elevate gay and lbian Amerins. * gay années 1950 *