La culture gay en mique : 1976 à 1979, l'histoire du dis - Gayvikg

groupe gay des années 80

Pour revendiquer ou simplement danser, 40 tub "gay iendly".

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LA CULTURE GAY EN MIQUE : 1976 à 1979, L’HISTOIRE DU DIS

Parurez l top artist gay pour trouver s nouvetés mil. Scrobblez s chansons pour obtenir s remandatns tr que vo aimerez. * groupe gay des années 80 *

Si le début s anné 70 a vu naître quelqu artist anglo-saxons look très ambigu dans l’univers du glam rock, à partir 1976 le mon gay va exploser so un déluge décibels à travers l clubs gay qui vont éclore New-York à Sydney en passant par Paris. Toujours ssi ftifs, toujours ssi dansants et toujours ssi gay!

1976-1979: L 4 anné qui ont pulvérisé s siècl préjugés homophob. En l’pace 4 anné, 1976 à 1979, l’exprsn gay ne va pl se ntenter quelqu chansons et airs muntair.

Dans un premier temps, dans l clubs gay et nul part aillrs, c’t le dis. Le terme éta d’aillrs totalement approprié puisque l homosexuels assumés ou trop visibl n’y étaient pas l bienven. L clubs gay sont l maîtr du j.

C CHANTS ET CHANTRS MUéS EN ICôN GAY

Si le dis plonge s rac dans la funky mic noire amérie et l rythm lato ce sont l DJ’s s clubs gay qui vont désormais être l maîtr du j en le mixant.

Et il fdra attendre l anné 80 pour que cette mique sorte s clubs gay. Appelez-moi « gay ». Si l Etats-Unis revendiquent la naissance du dis dans l clubs gay New-York et San Francis, on pt dire qu’il t appa spontanément, et à la même pér, dans d’tr pal du mon, dont Paris avec un msage simple: la fête, la danse, le sexe, le strass, l paillett, le rythme, la joie vivre et… le poppers.

Autant perpectiv qui ne pouvaient que plaire x homos s anné 70 qui préféraient dorénavant qu’on l appelle s « gays ».

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L nouvell égéri gay. C’t à Munich, où il v, que l’alien G Moror va renntrer la chantse Donna Summer et lui écrire s premiers tub mythiqu: « Love to love you baby » (1975) et « I feel love » (1977) qui vont d’abord nnaître le succès en France et en Allemagne avant d’enflammer tout l clubs gay du mon entier. En quelqu anné Donna Summer va venir la nouvelle égérie gay ternatnale.

En 1980, le label Donna Summer t « Geffen Rerds » créée cette année et dirigé par David Geffen, homosexuel ant qui a pris que ce phénomène mil éta la clef sortie du plard s gays. Toute sa rrière, Donna Summer la do x clubbers gay jqu’à une maladrse en 1983 lorsque, so l’emprise d’idé religis nservatric, elle déclarera que le Sida t une punn dive lancée ntre l homosexuels… Du jour lenma, elle ne sera pl diffée dans l clubs gay.

Glorya Gaynor en 1976 (photo Rob Mieremet) et Donna Summer en 1977 (photo Casablan Rerds) – Wikimedia Commons.

MIQUE GAY

Mais d’tr chants noir améri ont déjà pris le relai et remplacent Donna Summer dans le cœur s gays, me Cheryl Lynn avec son « Got to the Real » (1978), Chaka Khan et son « I’m Every women » (1978) qui fera le miel to l spectacl travtis du mon, A Taste of Honey et lr « Boogie Oogie » (1978). Diana Ross, tre dése du clubbg gay s anné 70, avec son tube « Love Haner » (1976) sera en sérise ncurrence avec Thelma Hoton et son « Don’t Leave me this way » (1976). Elle reviendra souvent sur le vant la scène à travers divers terprèt me le groupe « L Communards » qui le nsacrera me hymne gay dix ans pl tard, en 1986.

Gloria Gaynor. Evimment la liste s chants noir égéri gay ne sera pas plète sans Gloria Gaynor qui terprète dès 1978 le célèbre « I will suvive » (Je survivrai).

Une prve pl que l homosexuels cette époque ventaient l mos, créaient l tub qui seraient repris par le grand public s anné, voire s décenni pl tard. Autre chantr noir, Barry Whe, qui n’a rien d’homosexuel, mais dont la voix à elle sle met la ttostérone en ébulln, va chffer l dancefloors gay s slows langourx mais rythmés me s pulsns animal: « It’s extasy when you lay down next to me » (1977).

ICôN GAYS S ANNé 80

Mais si l gays aiment l chants très fém et l chantrs noirs améris très virils, ils vont ssi faire émerger s êtr pl ambig sexe mos détermé me Dive, travti améri qui va être la première drag queen avant que la mo ne so ventée 20 ans pl tard. Ami Dive, Sylvter, androgyne noir et maquillé, va être un porte drape la munté gay avec s chansons qui abornt l’homosexualé et son tube « You make me feel » (1977).

Le grand public déuvrira son homosexualé lors son décès du Sida dans l anné 90, maladie qui mettra f prématurément à la rrière beup chantrs gay cette époque me Sylvter, Kls Nomi, Freddie Mercury ou Patrick Cowley un s pèr la mique dis amérie qui sera le premier (1982) d’une longue liste. L clubs branchés et gay la e Sate-Anne à Paris (le Sept et le Colony) vont résonner so le rythme Cerrone, un battr, qui va être propulsé grâce à quelqu tr, dont « Love C Mor » (1976) le célèbre « Supernature » (1977) ou « Standg the Ra » (1978) terprété par son plice, micien et arrangr Don Ray.

40 CHANSONS " GAY IENDLY"

La notoriété Cerrone va toucher l Etats-Unis et il sera un habué du célèbre Stud 54 New-York, la pl grosse boe gay du mon. Quant à Don Ray, décédé en mars 2019, il sera à l’orige nombrx arrangements tub à travers la planète dont beup tub gay iendly (« Alexandrie, Alexandra » Cl François, « Don’t let me be Misunrstood » Santa Esmeralda, etc).

C’t ssi durant c 4 anné magiqu la f s anné 70 qu’un productr ançais, Henri Belolo et un tr posr ançais, Jacqu Morali, vont faire fortune x Etats-Unis grâce x bo gay New-York, San Francis et Key Wt.

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