Pl 40 % nos parents sont s upl homosexuels qui, à un moment lr vie, ont rsenti l'appel la parentalé. La gpa uple gay, t le meillr moyen d'accér à la parentalé, en raison l'impossibilé pratique mener à bien une procédure d'adoptn ternatnale.
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L MèR PORTS POUR L GAYS
Réalisée par l’Ifop pour l’Associatn s Fal Homoparental (ADFH), cette étu menée près d’un échantillon natnal représentatif 994 personn homosexuell, bisexuell et transgenr s’avère riche en enseignements:. Très logiquement, ce désir parentalé urs s trois ans à venir t particulièrement élevée chez l femm (45%) et pl largement chez l homosexuel(le)s déjà marié(e)s ou pacsé(e)s (44%).
Entre l différents procédés qui s’ofent x Français souhaant fonr une fale avec une personne du même sexe, l homosexuel(le)s souhaant avoir un enfant privilégieraient massivement s techniqu me la PMA ou la GPA.
En effet, l techniqu procréatn médilement assistée sont cell vers lquell une majoré d’homosexuel(le)s (58%) s’orientera en prré, lo vant l’adoptn (31%) ou la parentalé (11%): l lbienn plébiscant tout particulièrement la PMA (73%) par rapport x tr optns.
MéDATNS PHILOSOPHIQULA PATERNé GAYGAY FATHERHOOD
Et dans le détail s résultats, l techniqu procréatn médilement assistée apparaissent me le moyen procréer privilégié par l personn x reven most (64% s homosexuel(le)s gagnant mos 1500 €/mois le privilégieraient, ntre à pee 34% cx gagnent pl 3 000 €/mois), sans doute parce qu’ell semblent mos onérs que la procédure d’adoptn qui, elle, rte le moyen préféré s dr (63%) et s personn aisé (66%). Si la législatn relative à la procréatn médilement assistée (PMA) et à la gtatn pour ti (GPA) rta changée en France, on note que cela n’empêchera pas l homosexuel(le)s souhaant procréer d’avoir s enfants: 75% s LGBT déclarent que dans c ndns, ils reuraient à s techniqu procréatn médilement assistée dans l pays étrangers où c pratiqu sont légal et endré pour avoir un enfant, dont 80% s gays et 92% s lbienn. L’analyse du profil s homosexuel(le)s qui pourraient le pl aller à l’étranger pour avoir un bébé (en moyenne 61%) montre quant à elle que cette optn sera tout particulièrement privilégiée par l lbienn (74% se disent « certa » le faire) et par l homosexuel(le)s ayant l’tentn ferme d’avoir un enfant dans l 3 ans (76%).
L’enquête a été menée près d’un échantillon 994 personn homosexuell, bisexuell et transgenr, extra d’un échantillon 12 137 personn représentatif la populatn âgée 18 ans et pl résidant en France métropolae.