La culture gay en mique : 1976 à 1979, l'histoire du dis - Gayvikg

chanteur gay année 70

De 1970 à 1975, la culture gay en mique avec Dalida, Bowie, Lou Reed, Elton John... La libératn s mœurs, la culture hippie et le i homosexuel.

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35 MEILLRS CHANTRS GAYS TO L TEMPS (CHANTRS LGBTQ+)

* chanteur gay année 70 *

Bien qu’il a gardé une gran partie sa vie privée, Mercury a été une icône pour la munté gay pendant s décenni, bien qu’il so malhrsement décédé du VIH/sida en 1991. En 1998, lors d’une terview acrdée à MTV, il a révélé son homosexualé, qualifiant ce moment “jour merveillx pour moi”.

La voix épique Halford a façonné et spiré d’nombrabl group heavy metal, faisant lui l’un s chantrs gays l pl fluents to l temps.

LA CULTURE GAY EN MIQUE : 1970 à 1975

Parurez l top artist gay pour trouver s nouvetés mil. Scrobblez s chansons pour obtenir s remandatns tr que vo aimerez. * chanteur gay année 70 *

Son uxième album, Trpassg, a fa lui le premier chantr ouvertement gay à voir son album attedre la première place du Billboard 200. En 2006, il a révélé son homosexualé dans un article uverture du magaze People et ntue à jouer la mique et à jouer à la télévisn et céma. Porter t un fervent défensr l’égalé raciale et l’égalé entre l personn lbienn, gays, bisexuell et transgenr.

Tennant a révélé publiquement son homosexualé lors d’une terview acrdée en 1994 magaze brannique Attu, nsacré mo vie gay. De 1970 à 1975, la libératn s mœurs et la culture hippie n’impactent que très progrsivement le i homosexuel dont une moré sort du plard. Le début s anné 70 tranche radilement avec l anné 60 en ce qui ncerne le répertoire la mique et s chansons fétich s homosexuels.

LA CULTURE GAY EN MIQUE : 1976 à 1979, L’HISTOIRE DU DIS

Ils sont bex, ils sont open, ils chantent bien… Voilà 5 chantrs gays et talentux qui osent et qu'il ft déuvrir absolument ! * chanteur gay année 70 *

La révolte Stonewall à New York en 1969 marque signifitivement le début du antisme gay, la sortie du plard, la naissance d’un mouvement gay polique réclamant le dro à la différence et la f s discrimatns. Mais, pour bonn ou mvais raisons, le i homosexuel l’époque ne s’approprie pas c ux chansons qui abornt ontalement le sujet… pt -être manière trop directe. D’tr artist anphon aborront le sujet l’homosexualé dans lrs chansons, parfois manière négative à la lime l’homophobie me « Le Rire du Sergent » Sardou, parfois manière pl posive.

Le mouvement hippie, qui prône l’amour libre, produira p tub gay-iendly, à part pt-être un tre enre un p rock s Pk-Floyd, « Arnold Lane» qui rante l’histoire d’un travti qui vola s vêtements femm sur s rs à lge et dont le clip représente le groupe avec s masqu femm en tra d’habiller et déshabiller un mannequ mascul avec s vêtements féms. En 1971, un film ançais Serg Gobbi « Un be monstre » met en scène le très be Helmut Berger dans un rôle ambigu, puisqu’il sédu l femm pour l poser à la mort et équente bex homosexuels. C’t à cette époque que quelqu artist anglophon homosexuels ou bissexuels, me Lou Reed ou Elton John, mais ssi David Bowie vont renntrer très ve le public gay.

Celui qui se mariera bien pl tard avec un homme, a enre du mal à assumer son homosexualé pourtant évinte même à cette époque. Cette chanson t assez signifitive du dilemme qui hanta beup d’homosexuels l’époque: assumer lr homosexualé ou vivre dans le mensonge en se mariant avec une personne du sexe opposé.

C CHANTS ET CHANTRS MUéS EN ICôN GAY

La libératn s mœurs et l’amour libre prônés par mai 68 et le mouvement hippie mettra enre une bonne dizae d’anné avant d’avoir s nséquenc tangibl sur l’acceptatn l’homosexualé par la société et par l homosexuels x-même. En 1975, l prémic du dis arrivent dans l nouvex clubs gay qui viennent d’éclore dans tout l pal ropéenn.

A partir ce moment, la sen moié s anné 70 verra une explosn la culture gay dans la mique et l’abandon s parol ambigü prof d’affirmatn sa sexualé sans détours. Si le début s anné 70 a vu naître quelqu artist anglo-saxons look très ambigu dans l’univers du glam rock, à partir 1976 le mon gay va exploser so un déluge décibels à travers l clubs gay qui vont éclore New-York à Sydney en passant par Paris.

MIQUE GAY

Le terme éta d’aillrs totalement approprié puisque l homosexuels assumés ou trop visibl n’y étaient pas l bienven. Si le dis plonge s rac dans la funky mic noire amérie et l rythm lato ce sont l DJ’s s clubs gay qui vont désormais être l maîtr du j en le mixant. Si l Etats-Unis revendiquent la naissance du dis dans l clubs gay New-York et San Francis, on pt dire qu’il t appa spontanément, et à la même pér, dans d’tr pal du mon, dont Paris avec un msage simple: la fête, la danse, le sexe, le strass, l paillett, le rythme, la joie vivre et… le poppers.

Autant perpectiv qui ne pouvaient que plaire x homos s anné 70 qui préféraient dorénavant qu’on l appelle s « gays ». C’t à Munich, où il v, que l’alien G Moror va renntrer la chantse Donna Summer et lui écrire s premiers tub mythiqu: « Love to love you baby » (1975) et « I feel love » (1977) qui vont d’abord nnaître le succès en France et en Allemagne avant d’enflammer tout l clubs gay du mon entier. En 1980, le label Donna Summer t « Geffen Rerds » créée cette année et dirigé par David Geffen, homosexuel ant qui a pris que ce phénomène mil éta la clef sortie du plard s gays.

Toute sa rrière, Donna Summer la do x clubbers gay jqu’à une maladrse en 1983 lorsque, so l’emprise d’idé religis nservatric, elle déclarera que le Sida t une punn dive lancée ntre l homosexuels… Du jour lenma, elle ne sera pl diffée dans l clubs gay. Glorya Gaynor en 1976 (photo Rob Mieremet) et Donna Summer en 1977 (photo Casablan Rerds) – Wikimedia Commons.

5 JN CHANTRS GAYS ET CRAQUANTS à SUIVRE

Mais d’tr chants noir améri ont déjà pris le relai et remplacent Donna Summer dans le cœur s gays, me Cheryl Lynn avec son « Got to the Real » (1978), Chaka Khan et son « I’m Every women » (1978) qui fera le miel to l spectacl travtis du mon, A Taste of Honey et lr « Boogie Oogie » (1978). Diana Ross, tre dése du clubbg gay s anné 70, avec son tube « Love Haner » (1976) sera en sérise ncurrence avec Thelma Hoton et son « Don’t Leave me this way » (1976).

40 CHANSONS " GAY IENDLY"

Elle reviendra souvent sur le vant la scène à travers divers terprèt me le groupe « L Communards » qui le nsacrera me hymne gay dix ans pl tard, en 1986. Evimment la liste s chants noir égéri gay ne sera pas plète sans Gloria Gaynor qui terprète dès 1978 le célèbre « I will suvive » (Je survivrai).

Une prve pl que l homosexuels cette époque ventaient l mos, créaient l tub qui seraient repris par le grand public s anné, voire s décenni pl tard.

Autre chantr noir, Barry Whe, qui n’a rien d’homosexuel, mais dont la voix à elle sle met la ttostérone en ébulln, va chffer l dancefloors gay s slows langourx mais rythmés me s pulsns animal: « It’s extasy when you lay down next to me » (1977).

*BEAR-MAGAZINE.COM* CHANTEUR GAY ANNéE 70

La culture gay en mique : 1976 à 1979, l'histoire du dis - Gayvikg .

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